D’un coup, tu me traverses l’esprit
Et tu parviens alors à tout envahir
Ne me lâches pas, place à la monotonie
Tu ne pars pas, je crains le pire
Seules des pensées noires me viennent
Plus aucune motivation n’émane de moi
La morosité, la passivité me tiennent
Heureusement ça n’arrive que parfois
Je cherche alors à rapidement m’éclipser
À gagner en gaieté, un peu de soleil
C’est perdu, tu me possèdes en entier
J’espère que quelque chose m’éveille
Comment te pourchasser, te faire partir ?
Tu cesseras sans faire un grand fracas
Tu passeras comme ça, sans souvenir
Quand un autre bon moment t’échappera