Ô sombre schizophrénie
Laissant un piètre répit
Coriace, tu colles à ma peau
Tu es l’un des pires maux
Seul souhait s’en débarrasser
Au moins un temps t’éclipser
Tu me plonges dans l’ennui
La léthargie me fusille
Parfois t’aime car fantastique
Vois des choses magnifiques
Mais en pesant tout le mal
Toutes balances basculent
Je ne peux pas du tout fuir
Tu ne fais que m’alourdir
Au programme idées noires
Puis reprise d’un brin d’espoir
